Syndicat Professionnel des Scientifiques de l'IREQ
Pour mieux nous connaître
France Guillemette
Présidente
Sylvain Riendeau
Premier Vice-Président
Gilbert Larochelle Martin
Second Vice-Président
Alain Croteau
Trésorier
Hendrix Demers
Secrétaire
Johanne Laperrière
Conseillère syndicale
Depuis mars 2020, en raison des mesures liées à la COVID 19, le télétravail est devenu la norme pour bon nombre d’employés. Une entente entre le SPSI et Hydro-Québec a défini les termes d'un programme sur le télétravail en mode hybride.
En janvier 2017, les scientifiques apprennent qu'une réorganisation à l'IREQ débute. Des licenciements sont alors annoncés. De plus, des scientifiques risquent de se retrouver en situation de renouvellement de connaissances et compétences. Des griefs sont déposés par le SPSI contestant ces licenciements et la réorganisation. En mai, le directeur de l’Institut quitte son poste.
L’année 2014 commence plutôt mal avec la réception d’avis de licenciement pour quelques temporaires. Le SPSI entame alors des pourparlers avec la Direction qui mèneront à la modification du statut de 17 temporaires qui deviennent permanents.
Le SPSI procède à une refonte complète de ses statuts et règlements. Tout au long de cet exercice de révision, il consulte les représentants d’unité et les membres, et requiert les avis juridiques nécessaires pour assurer la cohérence et la légalité du projet.
Des scientifiques et des technologues de l'IREQ ont uni leur voix aux autres groupes syndicaux et sociaux présents lors de l'imposante manifestation organisée en marge du congrès du Parti libéral du Québec, le 20 novembre 2004. La Presse du lendemain rapportait que les membres du SPSI «sortaient dans la rue» pour une première fois de leur histoire. Le président du SPSI a profité de la tribune pour dénoncer les coupures d'effectifs et de budgets qui sévissent à l'Institut de recherche.
Le SPSI demande une rencontre d’urgence avec la Direction et dénonce avec vigueur l’option retenue d’une vente totale ou partielle du LTEE à EA Technology. Il multiplie les représentations auprès des autorités politiques compétentes et critique avec acharnement ce projet de concession du LTEE au profit d’intérêts étrangers. Hydro-Québec mettra fin à ce projet.
Un article paru dans l'Hydro-Presse et faisant état de l'intention du président-directeur général, M. André Caillé, de régulariser la situation des employés temporaires se répend dans la communauté scientifique - laquelle comportait un haut taux d'employés temporaires - comme une véritable traînée de poudre. S'ensuivent des négociations qui déboucheront sur l'évènement qui, sans contredit, marque l'année 1997, soit l'entente permettant la conversion de près de 130 chercheurs en permanents.
Toujours dans le but de mieux servir et informer ses membres, le SPSI lance la première version de son site Web, qu’il actualisera au fil du temps.
Le SPSI qui, depuis sa fondation, partageait les locaux du SPIHQ, décide de louer son propre espace. Il déménage ses pénates à Boucherville. Soucieux d’informer la communauté scientifique, le Syndicat propose un premier numéro du bulletin trimestriel l’Irequois.
Des négociations avec Hydro-Québec sont en cours. Les principaux enjeux en sont : une reconnaissance des états de service des « contractuels » qui représentent alors plus du tiers de la communauté scientifique, une sécurité d’emploi et un rattrapage salarial. Le 5 novembre, entre en vigueur la première convention collective du SPSI.
Le 2 mars 1989 les chercheurs déposaient une demande d'accréditation syndicale au Ministère du travail, laquelle a été accordée au Syndicat Professionnel des Scientifiques de l'IREQ (SPSI) le 29 mai 1989. Sa mission comporte deux volets : d'une part, il devra négocier les conditions de travail de ses membres et veiller à leur application et, d'autre part, il poursuivra l'objectif de son ancêtre, l'ADACI, soit la promotion de la recherche.
En août 1986, était fondée l'Association des analystes, chercheurs et ingénieurs de l'IREQ (ADACI). Cette association avait pour mission de promouvoir la recherche. Le 18 octobre 1988, l'ADACI tenait une assemblée spéciale pour débattre de l'option syndicale.